Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Bugatti Type 37, voiture de course de 1926
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La Bugatti Type 37, cette automobile ancienne fut produite de 1926 à 1930, 212 Type 37 et 78 Type 37A furent produite, il y avait deux version moteur des quatre cylindres de 1,5 l pour 65 et 85 ch donc un turbocompressé.
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La Bugatti Type 37, et 37A fut produite de 1926 à 1930, 2 motorisations 1.4L à 1.4L présentant des puissances de 65ch à 85ch. La Bugatti Type 37 , 37A a été produite en 290 exemplaires. Le Type 37 est une version quatre cylindres du Type 35.
Si rien ne permet de la distinguer esthétiquement parlant d’une Type 35 (hormis les roues à rayons Rudge, les mêmes que celles de la Type 35A) étant donné qu’elle en reprend le châssis, la carrosserie ainsi que le radiateur étroit, la Type 37 se singularise néanmoins par son moteur, l’unique 4 cylindres en ligne de la génération des Type 35. Certes moins puissante que le moteur huit cylindres sa puissance maximale est de 60 ch, la Type 37 est quasiment aussi rapide qu’une Type 35 du fait de son poids réduit. Très endurant, son moteur lui permet d’atteindre une vitesse maximale de 150 km/h.
Le moteur n'est pas totalement inédit puisqu'il est en réalité la moitié du 8 cylindres en ligne de la Bugatti Type 28 de 1920. Son rapport alésage/course de 69 mm par 100 mm lui donne une cylindrée de 1 496 cm3. Comme les précédentes déclinaisons, la Type 37 conserve un arbre à cames unique actionnant trois soupapes par cylindre. L’allumage se fait par distributeur, comme sur la Type 35A, ce qui implique la présence d’une batterie et d’une dynamo tandis que l’alimentation du moteur en essence est assurée par un carburateur unique (contre deux habituellement sur les Bugatti) de marque Zenith ou Solex.
Engagée en compétition en catégorie 1,5 litre à partir de 1926, remplaçant ainsi la Bugatti Brescia, la Type 37 domine rapidement toutes ses concurrentes. Son succès est tel que Bugatti décide au milieu de la saison 1927 de lancer la Type 37A (officiellement dénommée Type 35CP). Il s’agit d’une version plus performante grâce à l’ajout au moteur d’une déclinaison du compresseur Roots de la Type 35C, ce qui porte sa puissance à 90 ch. L’allumage par distributeur est également remplacé par une magnéto, tandis que le moteur reçoit un graissage sous pression. Fabriquée pendant jusqu’en 1931, les Bugatti Type 37 et 37A sont construites à environ 270 exemplaires.
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Bugatti ", France 1909 - ....
En 1881, naît Ettore Bugatti à Milan. Après l’école, il commence un apprentissage chez Prinetti & Stucchi, un fabricant de bicyclettes.
En 1898, Bugatti monte son premier véhicule à quatre roues pour Prinetti & Stucchi, la Type 1, comme on l’a appelée par la suite.
En 1901, la Bugatti Type 2 obtient une médaille à l’exposition automobile de Milan. Le baron de Dietrich, constructeur de véhicules de Niederbronn, en Alsace, est tellement enthousiasmé qu’il prend Ettore Bugatti sous contrat.
Entre 1902 et 1904, environ 100 automobiles des Types 3, 4 et 5 voient le jour sous le nom de Dietrich-Bugatti.
En 1904, pour Emil Mathis, Bugatti construit une voiture. Il s’agit du prototype pour la Type 6 et la Type 7.
En 1907, Bugatti s’installe à Cologne et produit pour la fabrique de moteurs à gaz Deutz des modèles quatre cylindres. En 1909, il fonde sa propre entreprise à Molsheim, en Alsace.
En 1909, Ettore Bugatti commence à construire des automobiles pour son propre compte.
Au salon automobile de 1910 à Paris, les « Bugatti » connaissent un vif succès.
De l’usine de Molsheim vont sortir au cours des 47 années qui suivent des véhicules équipés de moteurs quatre, huit et seize cylindres.
Son fils, Jean Bugatti (1909-1939) s’avérera lui aussi être un constructeur génial. Pour ce jeune homme à la fois sensible et déterminé, ce n’est pas une tâche aisée que de s’affirmer par rapport au père. Il n’a que 21 ans lorsqu’il commence à dessiner des carrosseries.
Le talent du jeune Jean est idéalement secondé par celui du dessinateur Joseph Walter. En 1939, la guerre met fin à la production de Molsheim.
Au cours des années qui précèdent et qui suivent la mort d’Ettore, survenue en 1947, ont lieu de timides tentatives de reprendre la production, mais en raison du décès prématuré de Jean, il manque à l’usine un dirigeant et, surtout, un esprit créatif.
En 1956, la tentative de come-back avec une voiture de course de Type 251 échoue. En tout, ce sont 7 950 Bugatti (de la Type 13 à la Type 101) qui auront quitté l’usine de Molsheim.
En 1991, le courtier en finances tyrolien Romano Artioli fait renaître la marque. À Modène (Italie), on construit l’EB 110, qui est alors la voiture de sport la plus rapide du monde (352 km/h).
En 1993 est montré pour la première fois au salon de Genève le prototype de recherche EB 112, une limousine avec un moteur douze cylindres de 6 litres et 460 chevaux.
En 1995, l’entreprise d’Artioli fait faillite. En quatre ans, 139 véhicules ont été construits.
En 1998 le groupe allemand Volkswagen AG rachète la marque Bugatti et demande au célèbre designer italien Giorgetto Giugiaro de la société Turinoise Italia Design de produire deux prototypes inspirés de la Bugatti EB 112.
En 2000 la société Bugatti Automobiles SAS, basée à Dorlisheim lance le projet de la Bugatti Veyron, moteur 16 cylindres en W, 1001 chevaux, 408.47 km/h, boite 7 rapports à commande séquentielle, pneumatiques de 20 pouces au prix de 1 000 000 euros hors taxes (soit 1 196 000 euros TTC).
En 2003 Thomas Bscher succède à Karl-Heinz Neumann à la tête de l'entreprise.
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